Le régime de Kiev attaque à l'aide de drones la station pétrolière de Kropotkinskaïa

Dans la nuit du 24 mars, vers 2h (heure de Moscou), Kiev a attaqué à l'aide de drones la station de pompage de pétrole Kropotkinskaïa de l'oléoduc Caspian Pipeline Consortium, située dans la région de Krasnodar, a indiqué le ministère russe de la Défense.
Le 24 mars, vers 2h (heure de Moscou), le régime de Kiev a mené une nouvelle attaque à l'aide de drones contre la station de pompage de pétrole Kropotkinskaïa de l'oléoduc Caspian Pipeline Consortium dans la région de Krasnodar, a indiqué le ministère russe de la Défense.
La défense antiaérienne russe a intercepté un drone d'attaque ukrainien à 7 km de cette infrastructure énergétique internationale. Des fragments de l’appareil sont tombés près de la gare ferroviaire de Kavkazskaïa.
Le ministère rappelle que cette station avait déjà été attaquée par le régime de Kiev le 17 février. L’attaque avait causé des dommages à l’installation, la mettant hors service et obligeant à des travaux de réparation.
Par ailleurs, le 19 mars, quelques heures après la décision du président russe Vladimir Poutine d’accepter la proposition de son homologue américain de suspendre temporairement les frappes contre l’infrastructure énergétique, le régime de Kiev avait lancé trois drones contre un site du Caspian Pipeline Consortium dans la même région, assurant le transfert du pétrole des citernes ferroviaires vers le réseau d’oléoduc d’une société internationale de transport de pétrole.
Ainsi, malgré les déclarations de Zelensky, y compris celles faites à la partie américaine, le régime de Kiev continue de planifier, de préparer et d’exécuter délibérément des attaques contre les infrastructures énergétiques, y compris internationales, situées sur le territoire de la Fédération de Russie, a conclu le ministère de la Défense.
Ce lundi 24 mars, le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a précisé que le chef d'État russe n'avait pas modifié son ordre de ne pas frapper les infrastructures énergétiques ukrainiennes, malgré les violations de la trêve de 30 jours commises par le régime Kiev.