Le président colombien soutient «la lutte mondiale pour la liberté du journaliste Julian Assange»

- Avec AFP

Le président colombien soutient «la lutte mondiale pour la liberté du journaliste Julian Assange»© JOEL SAGET / AFP
Le président colombien Gustavo Petro à Paris lors d'une séance photo de l'AFP en novembre (image d'illustration).
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Gustavo Petro, premier président colombien de gauche, a appelé le 22 novembre à la libération du fondateur de WikiLeaks, toujours incarcéré à Londres et menacé par une extradition aux Etats-Unis où il risque de finir ses jours en prison.

Le président colombien Gustavo Petro s'est joint le 22 novembre aux appels à la libération de Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks détenu à Londres et accusé d'espionnage par les Etats-Unis. Le président, sur son compte Twitter, dit «soutenir la lutte mondiale pour la liberté du journaliste Julian Assange», postant une photo de sa rencontre avec deux délégués de WikiLeaks la veille.

Je demanderai au président [Joe] Biden avec d'autres présidents latino-américains de ne pas inculper un journaliste simplement pour avoir dit la vérité

«Je demanderai au président [Joe] Biden avec d'autres présidents latino-américains de ne pas inculper un journaliste simplement pour avoir dit la vérité», a ajouté Gustavo Petro, premier président de gauche de l'histoire de la Colombie. La Colombie est traditionnellement le principal allié des Etats-Unis en Amérique latine.

Le journaliste islandais Kristinn Hrafnsson, rédacteur en chef de WikiLeaks, était parmi les participants à la réunion avec le chef de l'Etat colombien à Bogota. «Petro comprend parfaitement la gravité de la situation d'Assange et le danger pour la liberté d'expression», a déclaré à la presse Kristinn Hrafnsson, à l'issue de la rencontre.

En juillet, le président mexicain Andrés Manuel Lopez Obrador avait offert «protection et asile» à Julian Assange, qui fait l'objet d'une enquête aux États-Unis pour avoir publié en 2010 plus de 700 000 documents confidentiels sur les activités militaires américaines. L'Australien de 51 ans risque jusqu'à 175 ans de prison aux Etats-Unis s'il est reconnu coupable d'espionnage. Le gouvernement britannique a déjà accepté son extradition, mais Julian Assange a fait appel.

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